L’une des principales mesures de compensation du projet consiste en l’acquisition, la protection et la restauration d’un ancien camp militaire d’une surface d’environ 200 hectares. Il ressort de la fiche ZNIEFF que ce site n’est pas en bon état et qu’il nécessite des mesures de restauration et d’aménagement afin de favoriser la présence d’espèces protégées. Il s’agit donc d’une réelle mesure de compensation comportant une plus-value écologique.

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